Keskecé que les haricots azukis, me dis-tu ? Eh bien ce sont de petits haricots rouges qui viennent d’Asie, plus précisément de Chine. Ils sont très souvent utilisés dans la cuisine japonaise, tu en as peut-être d’ailleurs déjà goûté sans le savoir ! Tu connais les petits gâteaux japonais à base de pâte de haricot rouge ? Beh voilà, c’est des azukis dedans.
Où les trouver ? Dans toutes les épiceries bios ! Je trouve les miens à ma Biocoop et ils coûtent 3,50€ pour 500g.
Comment les cuisiner ? Les haricots azukis se cuisinent comme tous types de haricots, tu les trempes pendant une nuit dans de l’eau puis tu les fais cuire pendant environ une heure dans une casserole. Mais pourquoi t’embêter à faire des azukis ? Pour toutes les raisons listées juste en-dessous !
Les azukis ont d’incroyables propriétés nutritionnelles. En effet, leur teneur en protéines et en fibres est très élevée, mais ils ont également une bonne dose d’acide folique, de potassium et de magnésium.
Ils améliorent le transit. Grâce à toutes ces fibres, ils permettent d’activer la digestion, ce qui permet d’éviter la constipation et l’accumulation de toxines, ce qui, par ricochet, permet de lutter contre le cancer du côlon.
Ils permettent de détoxiquer le foie. En gros, les haricots azukis contiennent une très grande quantité de molybdène (oui un nom barbare que j’ai trouvé sur wikipédia), qui est un oligo-élément qui permet de nettoyer le foie, très encombré par notre alimentation.
Ils équilibrent les niveaux de sucre dans le sang. Toujours grâce à leurs propriétés nutritionnelles, ils aident au maintien du niveau de sucre dans l’organisme, ce qui est particulièrement bon pour le pancréas et les reins.
Enfin, ils aident à traiter les infections urinaires. Eh oui ! Grâce à ces fameuses fibres solubles et leurs facultés diurétiques, ils permettent d’apaiser les infections des voies urinaires grâce à leur fonction de drainage.
Une amie médecin m’a conseillé d’en manger au moins deux fois par semaine ! Alors, tu attends quoi ?